PROTUBERANCE il n’y a rien doncqui ne soit la seule égide où le vent crevasséteint les maisons et les immeublesd’une communauté mélancoliqued’esprits froids et stérilesc’est dans ce terreau que s’éveillentdes beautés prématuréesqui une saison découvrentavec leur pragmatismequelque chose que finalementelles laisseront c’est dans les barbelés, dans le fruit du maraisdans les riches demeureset les façades […]