LE PROGRES Travailler la terre et polluer l’air pour pouvoir naitre dans l’opprobre d’aucune saison et se savoir souverainement le maillon d’une triste prière sombrant dans les gravillons.
LE PROGRES Travailler la terre et polluer l’air pour pouvoir naitre dans l’opprobre d’aucune saison et se savoir souverainement le maillon d’une triste prière sombrant dans les gravillons.
une musique inframince et la brièveté d’une seconde, ou d’une saccade pleinement mélangée avec le teint fondamental de ces leviers que tu astreints et tentes de faire museler sans que le dénivelé atteigne le niveau de l’eau où les êtres sont des plaines entières. j’angoisse d’être sur le bord et sur le carrelage de […]