by Florian

 

Les bras de mon corps pleurent
D’envisager, et serrer ta tête
Comme une boule altière
Car pleurent le vent et le temps
Sur tes paupières de châtaigne
Et s’amenuise la raison
Lentement comme un empire règne

Mais viens, faisons cuir la passion
Dans la bouche mièvre de tes joues