by Florian

Anarchie
 

Peu importe l’anarchie des fleurs
Peu importe les sigles dans la grande faïence
Et sur les vêtements de jeunes sœurs
Peu importe si les désuètes années
Ont été sifflées par une grande machine
Dont il ne reste que des ruines

Les écluses sont des cœurs et la ville
A de la terre dans les entrailles
Les chants sereins des oiseaux
Sont les pierres décortiquées
Des anciennes demeures