ICI ET AILLEURS Ton visage – le crémeuxenfin tes nerfs quotidiens appellent à aimerdes phases succulentescomme plantes et jarres les choses vont un trainet une préciosité absentemais je voulais amortir ces étatsqu’un démiurge tout aussi nerveuxesquive, et qui laisse aimer à sa suited’autres combinaisons encore de mélodieuxquand toute musique absente ausculte un silenceméticuleusement démembré