Oh Orphée c’est toi qui t’insinuesTu es venu sur la berge et le bord du litLoger le fruit de la nuit comme un râleTout en toi est effusion solaireEternel ombrage des arbresEt clameur de la forêtLes bêtes t’isolent dans leur tanièreEt toi plus humain qu’une idoleTu manies l’esprit et son corps éprisDes choses qui passent […]