Il pleurait, et le pleur d’OrphéeEst la vacance sans mesure des grèves où il jouaitL’envoûtement de l’aube, l’élastique du crépusculeOrphée grandissait en jouant, et allongeait la lyreAvec la magie de ses doigts éternelsLa musique et les pleurs, baignés des seuls animauxParmi la voûte et la canopée, la terre meuble des bergesLa vase intermittente des soleils, […]